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Vie Rurale
Le 16 novembre 1988
(la variante complète de l'article)

La vérité de Moscou
Le 16 novembre 1988
(la variante réduite de l'article)
De l'espace - sur les ailes


Le premier navire soviétique de l'utilisation multiple Bourane avec l'honneur a passé l'examen spatial. Ayant fait selon l'orbite circumterrestre deux spires planifiées, il a atterri en régime automatique pour la bande d'atterrissage du cosmodrome Baïkonour.

Quand on remet ces lignes, l'oiseau blanc-et-noir spatial se trouve sur la bande d'atterrissage, où se refroidit après les étreintes chaudes des couches denses de l'atmosphère terrestre. Quand le "plumage" de la céramique rendra tout recueilli selon le chemin à la maison zhar, les savants et les ingénieurs s'occuperont par l'inspection soigneuse du navire orbital, les essais fructueux de qui ouvrent un nouveau chef(chapitre) dans l'histoire de la cosmonautique soviétique

On veut comparer l'expérience actuelle à la symphonie spatiale, qui était exécutée irréprochablement, sans note commune fausse. Slozhnejshaja la partition technologique était raspisana et est exécutée littéralement par secondes. Comme le 29 octobre, étant parti pour le cosmodrome longtemps avant l'aube, nous avons trouvé le système universel Energia - Bourane au moment, quand finissaient les opérations de la prise d'essence par ses composants du combustible. Cette fois notre position de surveillance était beaucoup plus proche vers l'île étincelant aux nuits. Le point uni komandno-de commande (OKDP), où nous nous sommes trouvés, se trouve contre le départ et tout dans 12 kilomètres de lui. À ce bâtiment à cinq étages équipé par l'équipement divers de navigation, afflue toute la information sur l'événement. Mais près de son pied pour 4,5 kilomètres a duré la ligne la plus égale en béton, pour qui après 204 minutes après le départ doit atterrir Bourane. L'ensemble d'atterrissage assure la "radiomainmise" de l'appareil, quand celui-là se trouve à quatre cents les kilomètres de lui et à la hauteur de 40 kilomètres. Le long de la ligne la largeur de 84 mètres et l'épaisseur jusqu'au semi-mètre dispose 16 téléchambres, qui suivront chaque mouvement d'atterrissage de Bourane.

Mais à ces minutes le regard enchaîne involontairement l'ensemble de départ. Tout à fait mal à propos s'est levé au point du jour le vent le plus fort. Ses élans atteignent 22 mètres par seconde. Le ciel après la pluie, le passé le soir, est serré par les nuages bas noirs. Réellement Bourane démarrera à l'orage... Cependant le sentiment de la sécurité de la technique(techniciens) ne quitte pas.

À la veille du premier départ nous voyions dans l'ensemble montazhno-d'essai la "soeur" natale de la fusée dans la collecte. Ont frappé non seulement ses montants(tailles), mais aussi la minutie, de qui on fabrique son chaque détail, la propreté régnant dans le local immense, garni des voitures. Le panneau brillé confirmait : "l'Air correspond aux exigences de la documentation d'études!". Tranquillement, travaillaient avec savoir-faire ici les ingénieurs, la technique(techniciens), les ouvriers. Et était pensé involontairement comment marcherait loin notre industrie, si à toutes les entreprises une telle exigence "spatiale" chez elle-même serait devenue la norme, la responsabilité de l'affaire confiée à toi par le pays...

Dans ce que chez nous beaucoup talentueux, capable de décider les tâches les plus complexes des spécialistes, ont persuadé les rencontres du corps, où nous avons vu le navire déjà presque entièrement recouvert par les carreaux de la céramique. Ces carreaux n'ayant pas les analogues dans le monde, en plusieurs cas plus fait, que dans d'autres pays, - le fruit des études et le travail des savants soviétiques et les ingénieurs. On réussit à examiner un d'eux. Facile, quelque chose rappelant la matière plastique aérée, elle empruntera bientôt sur corps "Bourane" immense et seulement la place. En effet, parmi 38 mille tels kvadratikov il n'y a pas pratiquement de jumeaux. À la base de mathématique obscheta l'ordinateur définit les corps du navire les montants(tailles) et l'épaisseur de chaque carreau, puis le programme est mis aux machines - outils avec CHPU, qui avec l'exactitude des dixièmes parts du millimètre tournent ces produits surprenants.

Remerciant seulement eux fait des alliages d'aluminium, l'acier, le titan, l'"oiseau" ne brûle pas au retour pour la Terre. D'ailleurs, on pourrait appeler tout le navire l'alliage - l'alliage des acquisitions plus récentes scientifiques et techniques. Ayant à la longueur 36 et à la hauteur de 16 mètres, il est capable de prendre à bord l'équipage de 2... 4 personne et encore 6 voyageurs. La section par camion de la longueur de 18 mètres et le diamètre de 4,7 mètres peut contenir jusqu'à 30 tonnes. Le volume de la cabine pour l'équipage - plus de 70 mètres cube. Elle a 6 fenêtres avec la place totale osteklenija 2,25 mètres carrés.

Peu de temps avant le départ au ciel monte sparka l'Instant - 25. Le pilote-expérimentateur M.Tolboev et le cameraman S.Zhadovsky partent à la hauteur pour de là tourner le départ et le vol du système sur le terrain actif. Et selon le cosmodrome sonne l'équipe(commande) : "Il y a un contact de la montée!". Au-dessus de l'aire de lancement s'élève le tourbillon de feu, et la liasse pesant 2400 tonnes, commence l'ascension à l'espace. Seulement après des secondes vingt jusqu'à nous volent les roulements du tonnerre, qui publient moteurs "Energias". À vingt buses de la fusée échappe la flamme en furie(faisant rage). Elle penche un peu et selon l'arc long remontant part de plus en plus loin du départ. Commence le terrain de la conclusion du système. Plus de cinq mille les paramètres caractérisant elle le travail, "sont enlevés" par les canaux télémétriques pour la Terre. Ils sont complétés avec vingt flux en chiffre, chacun de qui contient encore selon 800... 1000 paramètres.

Sur la hauteur environ 40 kilomètres ont récupéré quatre "bokovushki", mais le deuxième degré(marche), c'est-à-dire le bloc central, continuait la conclusion de Bourane pour l'orbite. Passe pendant dix minutes, et on sait : elle a fait aussi l'affaire et commençait la chute aux ondes de l'océan Calme. L'"Bourane" à ce moment se trouvait sur la hauteur près de 120 kilomètres et, puisque n'a pas encore tapé la vitesse orbitale, a inséré bientôt les moteurs. Après deux impulsions il a atteint la première vitesse spatiale et est sorti pour l'orbite donnée.

Pendant le vol autour de la planète en navire tout travaillaient presque son systèmes, y compris la télévision de bord, avec l'aide de qui nous voyions la surface de la Terre. Mais quand le programme du vol orbital était accompli, il s'est déroulé et a inséré les moteurs pour le bloquage. Ainsi, la "queue" en avant, il a commencé la voie vers la Terre. Est revenu et ensuite à une ancienne position et s'est précipité à la bande d'atterrissage.

Ici l'attendaient depuis longtemps. Au ciel se lève de nouveau l'Instant - 25. Les radiosystèmes spéciaux "se sont emparés" Bourane sur la distance de comptes et ont commencé à le déduire(le sortir) au couloir nécessaire. À la différence des avions le navire orbital s'assoit pour la ligne sous l'angle beaucoup plus rapide. De notre observatoire nous voyaient, comment, en augmentant dans les montants(tailles), comme si en tombant du ciel, il s'approchait de la ligne. Il était difficile de croire que, tout à fait récemment il allait à toute vitesse dans l'espace à la vitesse plus de sept kilomètres par seconde, - pour l'atterrissage la voiture allait ainsi que l'avion à réaction ordinaire. Cette étape de l'expérience est unique aussi. Si pour les avions l'atterrissage automatique il y a longtemps est récupéré, le navire spatial la fait pour la première fois. Les dizaines de la fois on récupérait cette opération avec l'aide des laboratoires volant et l'analogue de Bourane, avant qu'il était décidé de relâcher à un tel vol indépendant l'oiseau spatial.

Et le navire déjà orbital concerne par trois chassis de la couverture en béton de la ligne, mais au-delà de sa quille éclatent trois parachutes de frein. L'"Bourane" est revenu pour la Terre pour commencer une grande vie dans l'espace.

V. OVCHAROV. (le Spécialiste. corr. L'Agence télégraphique de l'Union Soviétique).
Le cosmodrome Baïkonour.


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Сельская жизнь
16 ноября 1988 года
(полный вариант статьи)

Московская правда
16 ноября 1988 года
(сокращенный вариант статьи)
Из космоса - на крыльях


Первый советский корабль многоразового использования "Буран" с честью выдержал космический экзамен. Совершив по околоземной орбите два запланированных витка, он приземлился в автоматическом режиме на посадочную полосу космодрома Байконур.

Когда передаются эти строки, черно-белая космическая птица находится на посадочной полосе, где остывает после горячих объятий плотных слоев земной атмосферы. Когда керамическое "оперение" отдаст весь собранный по дороге домой жар, ученые и инженеры займутся тщательным обследованием орбитального корабля, успешные испытания которого открывают новую главу в истории советской космонавтики

Нынешний эксперимент хочется сравнить с космической симфонией, которая была исполнена безукоризненно, без единой фальшивой ноты. Сложнейшая научно-техническая партитура была расписана и исполнена буквально по секундам. Как и 29 октября, выехав на космодром задолго до рассвета, мы застали универсальную систему "Энергия" - "Буран" в момент, когда заканчивались операции по заправке ее компонентами топлива. На этот раз наша наблюдательная позиция была намного ближе к сверкающему в ночи острову. Объединенный командно-диспетчерский пункт (ОКДП), где мы оказались, находится против старта и всего в 12 километрах от него. В это шестиэтажное здание, оснащенное различной навигационной аппаратурой, стекается вся информация о происходящем. А у его подножия на 4,5 километра протянулась ровнейшая бетонная полоса, на которую спустя 204 минуты после старта должен приземлиться "Буран". Посадочный комплекс обеспечивает "радиозахват" аппарата, когда тот находится в четырехстах километрах от него и на высоте 40 километров. Вдоль полосы шириной 84 метра и толщиной до полуметра расположены 16 телекамер, которые будут следить за каждым посадочным движением "Бурана".

Но в эти минуты взор невольно приковывает стартовый комплекс. Совсем некстати на рассвете поднялся сильнейший ветер. Его порывы достигают 22 метров в секунду. Небо после дождя, прошедшего вечером, затянуто низкими черными тучами. Поистине "Буран" стартует в буран... Однако чувство надежности техники не покидает.

Накануне первого старта мы видели в монтажно-испытательном комплексе родную "сестру" ракеты в сборе. Поразили не только ее размеры, но и тщательность, с которой изготовлена каждая ее деталь, чистота, царящая в огромном, уставленном машинами помещении. Светящееся табло подтверждало: "Воздух соответствует требованиям конструкторской документации!". Спокойно, деловито трудились здесь инженеры, техники, рабочие. И невольно думалось о том, как далеко шагнула бы наша промышленность, если бы на всех предприятиях стала бы нормой такая "космическая" требовательность к себе, ответственность за дело, доверенное тебе страной...

В том, что у нас немало талантливых, способных решать самые сложные задачи специалистов, убедили и встречи в корпусе, где мы увидели корабль, уже почти полностью оклеенный керамическими плитками. Эти плитки, не имеющие аналогов в мире, во многом более совершенные, чем в других странах, - плод исследований и труда советских ученых и инженеров. Удалось рассмотреть одну из них. Легкая, чем-то напоминающая пенопласт, она вскоре займет на огромном корпусе "Бурана" свое и только свое место. Ведь среди 38 тысяч таких квадратиков практически нет близнецов. На основе математического обсчета корпуса корабля компьютер определяет размеры и толщину каждой плитки, затем программа закладывается в станки с ЧПУ, которые с точностью десятых долей миллиметра вытачивают эти удивительные изделия.

Только благодаря им сделанная из алюминиевых сплавов, стали, титана, "птица" не сгорает при возвращении на Землю. Впрочем, весь корабль можно было бы назвать сплавом - сплавом новейших научных и технических достижений. Имея в длину 36 и в высоту 16 метров, он способен взять на борт экипаж из 2...4 человек и еще 6 пассажиров. Грузовой отсек длиной 18 метров и диаметром 4,7 метра может вместить до 30 тонн. Объем кабины для экипажа - более 70 кубических метров. Она имеет 6 окон с общей площадью остекления 2,25 квадратного метра.

Незадолго до старта в небо взмывает спарка МиГ-25. Летчик-испытатель М. Толбоев и кинооператор С. Жадовский уходят в высоту, чтобы оттуда отснять старт и полет системы на активном участке. И вот по космодрому звучит команда: "Есть контакт подъема!". Над стартовой площадкой вздымается огненный вихрь, и связка, весящая 2400 тонн, начинает восхождение в космос. Только спустя секунд двадцать до нас долетают раскаты грома, который издают двигатели "Энергии". Из двадцати -сопел ракеты вырывается бушующее пламя. Она слегка накреняется и по длинной восходящей дуге все дальше уходит от старта. Начинается участок вывода системы. Более пяти тысяч параметров, характеризующих ее работу, "сбрасывается" по телеметрическим каналам на Землю. Их дополняют двадцать цифровых потоков, каждый из которых содержит еще по 800...1000 параметров.

На высоте примерно 40 километров отработали четыре "боковушки", а вторая ступень, то есть центральный блок, продолжала вывод "Бурана" на орбиту. Проходит около десяти минут, и становится известно: она тоже сделала свое дело и начала падение в волны Тихого океана. "Буран" в этот момент находился на высоте около 120 километров и, поскольку еще не набрал орбитальной скорости, вскоре включил свои двигатели. После двух импульсов он достиг первой космической скорости и вышел на заданную орбиту.

Во время полета вокруг планеты на корабле работали почти все его системы, в том числе и бортовое телевидение, с помощью которого мы видели поверхность Земли. А когда программа орбитального полета была выполнена, он развернулся и включил двигатели на торможение. Так, "хвостом" вперед, он начал путь к Земле. А потом вернулся в прежнее положение и устремился к посадочной полосе.

Здесь его уже давно ждали. В небо вновь поднимается МиГ-25. Специальные радиосистемы "захватили" "Буран" на расчетном расстоянии и начали выводить его в нужный коридор. В отличие от самолетов орбитальный корабль садится на полосу под значительно более крутым углом. С нашего наблюдательного пункта мы видели, как, вырастая в размерах, словно падая с неба, он приближался к полосе. Трудно было поверить, что, совсем недавно он несся в космосе со скоростью более семи километров в секунду, - на посадку машина шла так же, как обычный реактивный самолет. Этот этап эксперимента тоже уникален. Если для самолетов автоматическая посадка давно отработана, то космический корабль совершает ее впервые. Десятки раз отрабатывалась эта операция с помощью летающих лабораторий и аналога "Бурана", прежде чем было решено отпустить в такой самостоятельный полет космическую птицу.

И вот уже орбитальный корабль касается тремя шасси бетонного покрытия полосы, а за его килем вспыхивают три тормозных парашюта. "Буран" вернулся на Землю, чтобы начать большую жизнь в космосе.

В. ОВЧАРОВ. (Спец. корр. ТАСС).
Космодром Байконур.